Comment être femme, maman, amie et pro dans un monde qui nous demande d’être tout à la fois

La vie d’une femme est souvent décrite comme un enchaînement de rôles à tenir : mère, amie, amante, professionnelle… Pourtant, ces casquettes sont-elles véritablement les nôtres ? Sommes-nous faites pour porter tous ces rôles en même temps, et comment réussir à les assumer sans se perdre ?

Je crois que la réponse réside dans l’idée qu’une femme, comme chacun, a le droit d’être « tout ce qu’elle veut être », mais cela passe par un processus de choix et d’acceptation de soi. Trop souvent, on nous impose un modèle de vie où il faudrait « tout réussir, à tout prix », et surtout « en même temps ». Mais, personnellement, je pense que c’est une pression irréaliste.

Accepter que tout n’est pas possible tout le temps

Je suis convaincue qu’on peut tout avoir à l’échelle d’une vie, mais parfois, il faut accepter que l’on ne peut pas tout avoir en même temps. La vie, ce sont des choix, des priorités qui évoluent selon les étapes, et savoir ce qui compte le plus à un moment donné.

Avoir plusieurs rôles à remplir demande une organisation intérieure, un respect de soi, et un équilibre qui ne se fait pas en un jour. Il faut cultiver la patience, la foi, et surtout la résilience pour traverser les périodes où certaines choses se mettent en pause pour d’autres.

Il est aussi essentiel de savoir lâcher prise. Lâcher prise sur les pressions sociales, sur l’idée que l’on doit absolument être parfaite dans tous les domaines à chaque instant. Parce que plus nous lâchons sur ces attentes externes, plus nous nous donnons la liberté de suivre notre propre chemin.

Trouver son équilibre personnel et professionnel

Le plus grand défi auquel nous faisons face, en tant que femmes, est souvent de nous accepter telles que nous sommes. Et l’une des plus grandes clés pour y arriver, c’est de savoir prendre soin de soi, tout en avançant à son rythme. Bien sûr, nous avons toutes des ambitions professionnelles, des rêves à réaliser, des projets à mener. Mais tout cela nécessite aussi du temps, du respect et de la bienveillance envers nous-mêmes.

En tant que mères, il est important de transmettre à nos enfants une image de la femme qui ne soit pas celle d’une super-héroïne, mais celle d’une personne qui fait des choix en conscience, qui sait prendre soin d’elle-même et qui ose vivre la vie qui lui ressemble. Car c’est en acceptant d’être imparfaites, mais entières, que nous pouvons être des modèles inspirants.

Une nouvelle vision de la femme : Libre et authentique

Le modèle de la femme parfaite, celle qui doit tout réussir tout de suite, ne fait que renforcer un sentiment de culpabilité et de frustration. Ce n’est pas en recherchant cette perfection que l’on trouve l’épanouissement, mais bien en acceptant de se réaliser à son propre rythme, sans pression. Plus nous nous autorisons à être nous-mêmes, plus nous serons capables de vivre la vie qui nous ressemble et d’inspirer ceux qui nous entourent.

Et si aujourd’hui, plutôt que de nous comparer aux autres ou de suivre des modèles imposés, nous osions simplement être les femmes que nous sommes ? Celles qui savent que chaque choix a son prix, mais que chaque choix fait est celui de notre liberté et de notre bonheur.

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Comprendre les attentes sociétales et se libérer des pressions extérieures (et intérieures !)

Les attentes sociétales sont ces pressions externes, visibles ou subtiles, qui influencent souvent la manière dont tu te perçois et la façon dont tu organises ta vie. Elles proviennent parfois de ton propre intérieur, mais elles sont également renforcées par des influences extérieures, comme celles des médias, des réseaux sociaux, et des personnes qui ont des objectifs commerciaux. Aujourd’hui, nous t’invitons à réfléchir sur l’origine de ces attentes : sont-elles vraiment ce que tu désires ou te sont-elles imposées par un système qui cherche à te vendre des solutions idéalisées ?

L’évolution des attentes sociales : de l’ancienne norme au modèle moderne

La société d’hier : une vision simplifiée de la femme

Il y a encore quelques générations, la femme était valorisée principalement pour sa capacité à maintenir un foyer heureux et sain. Ce modèle, bien qu’il puisse sembler simple aujourd’hui, était relativement atteignable. À cette époque, de nombreuses femmes se considéraient heureuses et accomplies si leur maison était en ordre et leurs enfants épanouis. Elles n’étaient pas soumises aux mêmes pressions sociétales qu’aujourd’hui.

L’ère de l’émancipation : carrière et indépendance

Au fil du temps, les femmes ont cherché à se faire une place dans la société, notamment par le biais de leur carrière. Cela a souvent été motivé par la nécessité d’assurer un revenu supplémentaire face à l’augmentation du coût de la vie, mais aussi par un désir d’indépendance et de reconnaissance professionnelle. Cependant, cette nouvelle liberté s’est accompagnée d’une double pression : celle de répondre aux attentes familiales tout en réussissant professionnellement.

La pression moderne : la maman parfaite et l’influence sociale

Aujourd’hui, nous observons un modèle encore plus exigeant : celui de la « maman influenceuse ». Non seulement elle doit être une mère attentive, mais elle doit aussi avoir une carrière florissante, un corps parfait, une maison impeccable, et une vie sociale active. Elle incarne une version « superwoman » où tout semble possible en un clin d’œil. Cependant, derrière cette façade, tout n’est pas aussi parfait que cela peut sembler. Des chiffres souvent gonflés, des réalités familiales masquées, et des réalités financières qui ne sont pas toujours transparentes. Cette image idéalisée peut alimenter des frustrations et une pression constante à être « plus » que ce que l’on est réellement capable de faire.

Comment s’en libérer et retrouver la sérénité ?

Loin de ces modèles irréalistes, il est essentiel de revenir à ce qui est vraiment important pour toi. Le bonheur ne doit pas être une quête inatteignable, nourrie par des attentes externes. Il est possible de réévaluer tes priorités et d’apprendre à te détacher des pressions extérieures pour t’épanouir pleinement.

Voici quelques étapes clés pour y parvenir :

1. Identifie tes priorités : Ce qui est vraiment essentiel pour toi, qu’il s’agisse de ton bien-être, de ta famille, ou de ta carrière. Ce qui compte le plus à tes yeux.

2. Choisis avec discernement : Prends des décisions en fonction de tes priorités. Il ne s’agit pas de tout abandonner, mais de choisir ce qui correspond vraiment à tes valeurs.

3. Avance étape par étape : Ne cherche pas à tout accomplir d’un coup. Empile progressivement des objectifs qui se alignent avec tes priorités essentielles.

L’objectif est de vivre de manière authentique, loin des pressions extérieures. Le bonheur se trouve souvent dans la simplicité et l’authenticité.

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Comment trouver son équilibre entre vie de famille et moments pour soi ?

Je ne sais pas toi, mais il m’arrive souvent, dans le flow de la vie, d’oublier de me poser cette question pourtant essentielle : de quoi ai-je le plus besoin là, maintenant ?

Quand il s’agit de ma vie professionnelle, en travaillant en solo, c’est presque naturel pour moi de rester à l’écoute de mes envies et de mes besoins. Mais dans les moments familiaux, il y a souvent une part de moi qui oublie de se poser cette question. Si j’y regarde bien, je crois qu’il y a toujours cette petite part de culpabilité, celle qui me dit que je devrais être disponible pour les autres pendant ces moments-là.

La culpabilité silencieuse des soirs et week-ends

Parce que je travaille en journée, une petite voix me dit que je devrais pouvoir être entièrement disponible pour les autres les soirs et les week-ends. Et toi, ça t’arrive aussi de ressentir ça ? Comme moi, tu as probablement aussi besoin de moments pour toi, de temps seule ou de temps en amoureux, loin des responsabilités et des attentes des autres. Mais cette petite voix intérieure pousse parfois à oublier ces besoins, à penser que c’est égoïste ou mal placé.

La réalité de la vie de maman d’ados

Avec des adolescents, je ressens souvent que ma vie de maman est plus teintée de frustrations que de plaisirs. C’est difficile de le dire à voix haute, n’est-ce pas ? On a cette pression sociale de proclamer combien on adore notre rôle de parent et combien on savoure chaque moment. Mais si je suis honnête, je reconnais que, même si j’aime profondément mes enfants, ce rôle n’est pas toujours aussi épanouissant que je l’espérais.

S’autoriser à s’offrir ce dont on a besoin

Alors, j’ai décidé que cette année, je m’autoriserai à regarder cette réalité en face. Je vais me donner la permission de prendre soin de mon âme, de lui offrir ces moments doux et essentiels pour qu’elle puisse se ressourcer, se déployer. Parce que, pour être pleinement présente et bienveillante avec ceux que j’aime, il est vital de cultiver cet espace intérieur de paix et de ressourcement.

Créer des moments de reconnexion avec soi-même

Ces petits moments pour soi sont bien plus que des pauses ; ce sont des rendez-vous précieux avec soi-même, un moyen de retrouver son équilibre et sa joie de vivre. Que ce soit un temps pour soi, un moment de détente en amoureux ou juste une soirée tranquille, il s’agit de se rappeler que nos besoins sont aussi importants. Et ce n’est pas égoïste de les écouter, bien au contraire : en nourrissant notre bien-être, nous apportons une meilleure version de nous-mêmes à notre famille.

Vers une vie plus douce et équilibrée

Alors, à toutes les mamans (et papas !) qui se sentent parfois étouffés par les obligations, qui culpabilisent à l’idée de prendre du temps pour elles-mêmes, rappelons-toi ceci : s’accorder des moments de ressourcement, c’est le plus beau cadeau que l’on puisse se faire. C’est ce qui permet de nous retrouver, de mieux comprendre nos besoins, et de revenir ensuite avec plus de douceur et de sérénité pour ceux qui comptent pour nous.

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Le poids de l’auto-exigence et la recherche de simplicité : Un chemin vers l’équilibre

Dans une société où l’on valorise l’accomplissement, le succès et l’idéal de perfection, il est facile de tomber dans le piège de l’auto-exigence. Nous sommes souvent conditionnés à viser toujours plus haut, à vouloir être « parfaits », à rechercher le rêve idéal, ce qui nous amène à négliger ce qui compte véritablement : l’équilibre intérieur et la simplicité de notre quotidien.

Ce phénomène n’est pas qu’un aspect superficiel de notre époque ; il est lié à des croyances profondément enracinées dans notre culture. Paradoxalement, plus nous nous imposons des standards élevés et inatteignables, plus nous nous éloignons de notre véritable essence, celle qui se trouve dans la simplicité et l’acceptation de qui nous sommes. Alors, comment briser ce cercle vicieux ? Comment revenir à une vie plus épanouie et alignée avec ce qui est réellement important ?

La recherche de la perfection : Une quête infinie

Le premier piège dans lequel nous tombons souvent est celui de chercher une solution miracle à nos problématiques. Il existe une multitude d’approches, de techniques et de solutions censées nous mener à l’« accomplissement parfait ». Mais si nous réfléchissons bien, n’est-ce pas l’objectif inatteignable en soi qui nous fait souffrir ?

Il existe une différence fondamentale entre l’idée d’accomplir un objectif réaliste et celle de poursuivre une quête infinie de perfection. Les solutions rapides et les promesses de succès immédiat nous détournent de l’essentiel : notre propre reconnaissance. Et au final, ce n’est pas la recherche de la perfection qui nous apporte le bonheur, mais le retour à la simplicité et à l’acceptation de ce que nous sommes vraiment.

L’exercice de la simplicité : Savoir ce qui est essentiel

Je te propose un exercice simple mais puissant. Imagine : tu as 120 ans, tu es entourée de tes proches, sur ton lit de mort. Que vois-tu ? De quoi es-tu fière ? Quelles sont les choses qui ont vraiment compté dans ta vie ?

Faire cet exercice peut nous aider à relativiser l’importance des petites choses qui semblent essentielles au quotidien, mais qui, à long terme, ne sont pas forcément les plus significatives. Parfois, nous cherchons à tout prix à atteindre des objectifs complexes ou à nous accomplir à travers des missions de vie idéalisées, oubliant que ce qui est essentiel réside dans des aspects bien plus simples : une vie qui a du sens pour nous, des relations qui nous nourrissent, un bien-être authentique. Il ne s’agit pas forcément d’accomplir quelque chose d’extraordinaire, mais simplement de vivre dans la simplicité.

La recherche du bonheur ne passe pas par une quête incessante de perfection. C’est dans la simplicité de ce que nous vivons chaque jour – notre travail, nos relations, nos moments de calme ou de joie – que nous pouvons trouver un véritable épanouissement. À travers ces petites choses, nous construisons une vie remplie de sens, loin des attentes irréalistes.

L’acceptation de la vie dans ses cycles naturels

Une autre idée essentielle à intégrer dans notre réflexion est l’acceptation des hauts et des bas de la vie. Dans un monde où tout semble devoir être lisse et linéaire, il est important de se rappeler que la vie suit des cycles naturels : printemps, été, automne, hiver. Chaque phase apporte son lot de défis et d’opportunités, et l’important est d’accepter ces fluctuations sans se juger trop sévèrement.

Quand tu traverses une période difficile, que ce soit dans ta vie personnelle, professionnelle, ou émotionnelle, il est essentiel de comprendre que ces moments font partie du processus. Il y a des jours où tout semble aller de travers, mais ces phases passent. Le printemps finit toujours par revenir, et avec lui une nouvelle énergie. Il est donc primordial d’accepter ce processus et de ne pas se punir pour des moments d’incertitude ou d’échec.

En fait, l’essentiel est de viser des objectifs atteignables. Se donner la possibilité d’être heureux et de s’aimer dans les moments simples.

Embrasser la vie avec confiance et simplicité

Au lieu de se perdre dans une recherche incessante de la perfection, pourquoi ne pas revenir à l’essentiel ? Accepter les cycles de la vie, être reconnaissante pour ce que l’on a déjà, et vivre pleinement chaque moment, qu’il soit simple ou complexe. C’est dans cette simplicité que réside souvent le véritable bonheur. 

Je te souhaite une magnifique journée ou soirée, en toute simplicité.

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Aujourd’hui, je te parle de charge mentale… et de comment la baisser!

Ce sujet, je le vois souvent abordé sur les réseaux. Et j’avoue que bien souvent, je les regarde en me disant : mais comment peut-on encore se questionner sur des sujets comme ça? 😳

Une part de moi se dit : « Quoi? Ca, ce sont des sujets féministes??! Mais quand est-ce que les femmes vont se rendre compte que ça part d’elles? ».

Bref, je sais, cette part là n’est pas très empathique 🫣 J’imagine bien que si on en parle encore, c’est que ce n’est pas si facile pour tous à mettre en place.

Alors, comme ça a été très peu un sujet pour moi dans mes vies de couple, je me suis dis que j’allais vous partager mon point de vue de mon regard à ce sujet, et aussi vous donner mes astuces pour mieux répartir ces charges mentales.

Pour précision, je n’ai pas juste eu la « chance » de tomber sur un homme caché secrètement qui prenait sa part.

J’ai bientôt 40 ans (🤫), j’ai eu 4 relations en 20 ans, et dans chacune de ces relations, j’ai été en couple avec des hommes qui faisaient à manger, le ménage, les courses… J’avoue même qu’à chaque fois, l’autre en faisait plus que moi, du moins sur ces côtés là.

De mon côté, j’ai souvent pris d’autres charges mentales : comme celle de la santé, du bien-être, avec la prise en charge des suivis et des rendez-vous médicaux, l’attention à l’état émotionnel ou intérieur de chacun, l’animation de la communication familiale, le suivi éducatif et scolaire des enfants (j’ai longtemps fais l’école à la maison), le rangement des espaces de vie, la gestion du budget et des économies, le tri des affaires et des objets, le ménage de fond, la déco, l’achat des meubles, le remplacement de l’électroménager…

Selon moi, l’attention et la contribution au bien-être de chacun et de la famille est souvent peu vue et reconnue, pourtant cela demande du temps et de l’implication.

Parfois, j’ai même eu des reflexions du type : « Quoi, tu ne travailles pas (quand j’étais en congé parental) et tu demandes à ton chéri de faire le ménage, les courses ou à manger.

Bah oui, et pour moi c’était logique, car la journée, je passais du temps avec mes enfants, prenait soin de leur développement, de leurs besoins affectifs, de leur santé… J’étudiais même sur tous ces sujets pour apprendre à mettre plus de bien-être et de naturel dans notre façon de consommer, de vivre, de manger, de nous soigner… Ceci tout en m’accordant aussi des temps de siestes quand eux dormaient, donc non, sur ces temps là, je ne rattrapais pas ces tâches qui me reviendraient.

Je n’ai jamais considéré ça de cette façon. Et aujourd’hui encore, alors que je travaille à la maison, je n’ai pas préparé à manger quand mon chéri rentre le midi, c’est même régulièrement lui qui le fait. Par contre moi, le matin, j’ai peut-être fais les papiers de l’assurance, pris rendez-vous chez le médecin ou rangé le salon. Bref, j’ai effectué ce qui fait partie de ma charge mentale à moi.

C’est aussi moi qui, quand les repas sont un peu trop gras, rappelle que ça serait bien de remettre plus de léger dans nos repas, ou qui dit à mon chéri quand je le trouve fatigué pour lui rappeler de prendre du temps pour se reposer. C’est aussi moi qui propose de parler de tel ou tel sujet quand je sens que quelque chose n’est plus équilibré ou qui propose un week-end quand je nous sens déconnecté. C’est encore moi qui penser à trier toutes nos affaires pour faire de la place aux nouvelles que l’on fait rentrer, qui propose de revoir l’organisation de notre budget, ou qui prend le temps de parler avec ma fille pour résoudre des conflits restés en suspens.

Mais sur pleins d’autres choses, j’avoue que je suis vraiment un « boulet »! Trop absorbée dans mes pensées et mes idées, j’oublie souvent des choses essentielles du quotidien, et je peux passer à côté de la vaisselle, sans penser une seconde à la faire ou la ranger 😓 Pareil le linge à ranger que mon chéri a gentiment plié, je peux mettre 3 jours à le voir 🫣

De tout ça, de mon fonctionnement particulier et de toutes mes expériences, j’en ai conclu des compréhensions sur la charge mentale, et de ce qui fait qu’on la prend ou pas (ou que l’autre la prend ou pas 😏).

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Je me suis lancée dans l’expérience du jeûne suite à mon infection.

– 5 jours de fruits et légumes pour commencer

– et me voilà à mon 4ieme jour de jeune : une journée jeune sec, une journée jeune hydrique, puis depuis hier j’ai introduis le jus pour réussir à aller au bout des 5 jours qui m’ont été conseillé.

Quoi en dire ?
– je suis fière de moi
– je me sens bien et légère dans mon corps
– mon ventre est en paix
– je m étonne de ma clarté d esprit !

Moi qui suis sans arrêt dans le doute à me poser 3000 questions, tout m apparaît claire et fluide ✨

Je me lève naturellement avec les réponses des questions que je me posais la veille, sans avoir tourné des heures la question en rond. Juste je me suis couchée tôt 😅

Je ne pensais pas que cette expérience m’apporterait autant 😊 Je ne pensais même pas que j’y arriverai à vrai dire.
Je crois aussi que c’est ma capacité de détermination que j’avais envie de tester.

La première journée fut épuisante et j’avais l impression que mon cerveau était vraiment à plat 😑 moi qui justement offre mon « plein d idées » aux autres…

Puis j’ai dû passer sur un autre mode parce que depuis le deuxième jour je me sens toujours aussi efficace mais d’une autre façon : ma vision est plus claire et plus posée.

Bon maintenant, à voir comment je vais pouvoir garder cela en reprenant à manger. Il me restera encore 5 jours fruits et légumes. Je pense qu’il va falloir que je trouve l alimentation qui me permet de garder facilement cette sérénité intérieure et cette clarté ✨

Face aux maladies, je me suis longtemps tournée vers l’énergétique, la spiritualité, leurs causes psychologiques, et cette fois encore je l’ai fais.

Sauf que cette fois, ce qui ressortait pour moi comme évidence, c’était la nécessite de prendre soin de mon corps et de ma matérialité. Je réalisais dans mes cellules (je le savais déjà dans ma tête 😁) que cela était tout autant nécessaire, même primordiale, car il y a aussi des choses qui se jouent là.

J’ai accompagné ce jeûne de réflexologie, massage shiatsu, soin énergétique… Et ça fait tellement de bien de prendre soin de moi, de ce corps qui est le mien.

Hihi et pour être honnête je suis aussi très contente que ce moment me permette de perdre peu à peu les quelques kilos accumulés ces derniers mois 😁

M’aimer dans mon corps, ça aussi, ça nourrit mon bien être et ma sérénité 💞

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