Comment apaiser un Bébé Aux Besoins Intenses (BABI)

Comment apaiser un Bébé Aux Besoins Intenses (BABI)

Les bébés aux besoins intenses… Une mode ou une vraie problématique actuelle rencontrée par de nombreux parents?

Quelle différence entre un BABI est un enfant « difficile » qui crie, a du mal à dormir ou qui demande « trop » les bras? Comment savoir si son enfant est un bébé aux besoins intenses ou non? Et est-ce vraiment important de savoir?

Il y a t il des choses à adapter, même sans savoir si son enfant l’est? Comment réagir? Comment aider son enfant quand il pleure et crie? Comment l’accompagner? Mais aussi comment s’accompagner soi-même? Car on ne va pas se mentir, quand on a un enfant qui demande beaucoup, on est souvent a bout !

On se sent aussi seul dans nos difficultés… Et pour couronner le tout, certaines personnes qui ne connaissent pas cette situation viennent nous culpabiliser et nous dire que c’est notre faute si notre enfant est comme ça.

On nous accuse de trop le prendre dans le bras, de trop le couver, ou alors de ne pas être assez présente, vivante, qu’il vient nous réclamer ou nous réveiller.

Bref, de quoi encore plus culpabiliser à tourner en rond à chercher ce qu’on a bien pu faire ou ne pas faire…

Ouf, c’est le moment de lâcher toute cette culpabilité ! D’accepter la situation telle qu’elle est, et de venir écouter les conseils de mon amie Isabelle Boivin, qui connait bien le sujet. Isabelle est régénératrice de mamans.

Elle propose des conférences, des accompagnements et un programme en ligne consacrées aux mamans des Bébés aux Besoins Intenses. Éducatrice Montessori, doula, animatrice de portage en écharpe, Isabelle s’est spécialisée au fil du temps dans l accompagnement de ces enfants et de leurs famille.

Retrouve la sur son site : https://lenfanceenconfiance.com/

Découvre mon programme gratuit pour retrouver ton équilibre et créer une vie profondément alignée 🌸

Retour au boulot : Préparer son « après-bébé » et/ou sa reconversion

Retour au boulot : Préparer son « après-bébé » et/ou sa reconversion

Grande question du jour : celle de la reprise du boulot après bébé !

Un sujet pas évident à aborder car parfois tabou : en effet, il n’est parfois pas de bon ton d’aborder sa difficulté à l’idée de repartir travailler… Si vous saviez le nombre de femmes qui m’ont dit que leur vie a été transformée suite à une grossesse.

L’arrivée de son premier enfant, ou d’un nouvel enfant à un moment donné, vient parfois complètement tout changer ! On se se reconnait plus, on n’a plus les mêmes envies, plus les mêmes priorités… Et on se demande parfois si notre vie d’avant est encore alignée.

Parfois on réalise comme elle ne l’est plus, et c’est souvent ici, dans la vie professionnelle, que le sens vient à manquer.

Parfois parce que le rythme que l’on avait ne nous permet pas d’avoir la présence auprès de bébé que l’on aimerait, d’autres fois car cela vient en confrontation avec nos nouvelles valeurs et aspirations.

C’est là que parfois vient le désir de reconversion professionelle, le désir de redonner du sens à sa façon de travailler, le désir d’avoir un métier qui nous ressemble, plus axé sur nos passions, et plus en adéquation avec la vie de famille et de couple que l’on veut créer.

Un moment de grandes remises en question qui amène parfois vers une vraie reconversion, d’autres fois vers une retour au travail plus apaisé avec un positionnement clair sur comment on a envie de repartir travailler… et une meilleure écoute de soi en priorité.

Pour avoir plus d’éclairage sur ces questions, je suis allée rencontrer Aurélie Gaignard, accompagnante au retour au l’emploi après bébé. Elle guide les mamans dans ce processus de bienveillance envers soi et de réalisation de soi.

Découvre mon programme gratuit pour retrouver ton équilibre et créer une vie profondément alignée 🌸

Grossesse : les bienfaits de l’accompagnement périnatal

Grossesse : les bienfaits de l’accompagnement périnatal

La grossesse est un moment particulier de la vie, un moment où de nombreuses femmes ont envie de revenir à elles, et d’être accompagnée afin de la vivre en conscience en sérénité.

Traditionnellement, ce sont les médecins, les sages-femmes, l’entourage qui étaient là pour entourer les femmes, mais parfois on ne trouve pas l’oreille attentive dont on n’a besoin, où simplement on a envie de l’accompagnement personnalisé d’une personne qui suara nous éclairer et nous tenir la main dans les peurs et difficultés que l’on peut rencontrer dans le cadre d’une grossesse.
 
Parfois parce qu’on rencontre des difficultés, d’autres fois car c’est notre premier enfant, on encore parce que la contexte est différent, ou que c’est le dernier et qu’on a pleinement envie d’en profiter.
 
J’ai rencontré Camille Koblebka, accompagnante périnatale, qui m’a parlé de son métier, de en quoi il coniste et de comment son accompagnement permet d’aider les futures mamans, les futures papas et les familles à vivre cette période en sérénité.
 
Elle m’a également présenté la différence entre accompagnate périnale et doula, que je connaissais déjà pour avoir été suivi par une doulu pendant la grossesse de mon fils.
Une interview trés intéressante qui j’espère vous plaira aussi 🙂

En complément de cet interview, je vous propose de lire : Vivre et transmettre le meilleur pendant sa grossesse , Pourquoi et comment parler avec son futur bébé , Accoucher au naturel, laissons faire la nature .

Retrouvez Camille sur son site : https://www.naissance-heureuse.com/

Et si ça vous intéresse, voici le lien de l’organisme où elle s’est formé : https://www.cefap-france.fr/

Découvre mon programme gratuit pour retrouver ton équilibre et créer une vie profondément alignée 🌸

Comment aider et accompagner nos enfants hypersensibles ?

Comment aider et accompagner nos enfants hypersensibles ?

Interview sur les besoins spécifiques d’un enfant hypersensible de 0 à 12 ans

L’interview commence à 4’00 et contient une partie « questions-réponses » de 14’20 à 31’30, puis Crystal nous partage le parcours et les particularités d’un enfant hypersensible de la naissance à 12 ans.

2ième temps d’échange avec Chrystal autour de ce sujet des enfants hypersensibles

Découvre mon programme gratuit pour retrouver ton équilibre et créer une vie profondément alignée 🌸

Vivre et transmettre le meilleur pendant sa grossesse

Vivre et transmettre le meilleur pendant sa grossesse

Cette semaine, j’ai envie de vous partager ma lecture d’un livre que j’ai beaucoup aimé.

C’est un thème que j’ai déjà plusieurs fois abordé : la grossesse et la communication avec bébé pendant la grossesse, mais cette fois Sophie Mettey, auteure du livre, y ajoute pleins d’infos sur comment vivre une grossesse et un accouchement rimant avec bien-être.

C’est une vrai mine d’or pour les futures mamans qui ont envie de vivre une maternité sereine et en conscience ! 

Le livre est divisé en 3 parties :

– CHAPITRE 1, ETRE EN LIEN AVEC SON ENFNAT AVANT QU’IL NAISSE 

Cette partie est intéressante et reprend avec simplicité plusieurs méthodes de communication avec son bébé pendant la grossesse. Elle parle du toucher comme le premier langage de communication parents-enfant, et de l’impact positif de cette qualité de présence à lui. Elle souligne à cette occasion que c’est un espace de connexion précieux pour les papas qui vivent la grossesse de façon plus extérieure, et vante les bienfaits du toucher également lors de la naissance.

J’ai aussi aimé le passage où elle évoque l’importance de parler à son enfant et de lui expliquer ce qu’il se passe « à l’extérieur » : ce qu’il ne voit pas, mais qu’il ressent au travers des émotions de la maman. Elle conseille alors de lui parler des examens médicaux, de lui expliquer comment ca va se passer, de le rassurer, et de lui présenter les étapes et les choix importants liés à la grossesse et à l’accouchement. Elle évoque également le bien-être apporté à la maman et au bébé par le chant prénatal pendant la grossesse et à l’accouchement.

Vient ensuite le moment où elle aborde le sujet de comment atteindre un état de conscience modifié pour se relier à bébé : relaxations, visualisations, méditations… Elle propose plusieurs méditations écrites (le mieux étant de se les enregistrer oralement et de les écouter). Sophie Mettey passe ensuite un temps à expliquer ce qui se joue entre l’âme des parents et du l’enfant à venir (le fait qu’il les ai choisi, les opportunités de retrouver et guérir les blessures karmiques au sein de la famille…), et comment entrer en communication subtile avec son bébé (par des synchronicité, des rêves, des méditations…).

– CHAPITRE 2, PRENDRE SOIN DE SON EQUILIBRE EMOTIONNEL 

Ici encore, elle nous livre des bases de compréhension et des outils précieux pour l’équilibre émotionnel de la future maman. Bien evidemment, il ne s’agit pas de chercher à réprimer ses émotions pour « épargner » bébé, car quoiqu’il arrive il ressent ce que vous vivez. Il s’agit plutôt de voir la grossesse comme une occasion de libération de mémoires émotionnelles (souvent liées à notre propre vie intra-utérine ou à notre enfance). Elle invite alors les futures mamans à profiter de ces 9 mois pour apprendre à mieux vivre avec leurs émotions : C’est un nouvel état d’être au monde qu’elle propose. Evidemment ce sont des principes bénéfiques à tous, mais pour celles qui n’auraient pas encore eu l’occasion de s’intéresser à cela et dont la grossesse vient reveiller des émotions qu’elles ne comprennent pas, vous aurez la joie de découvrir les bienfaits de la pensée positive et créative, et de la libération émotionnelle.

Ses pistes :  cultiver l’amour de soi, oser être soi-même, prendre soin de soin, arrêter de lutter et s’ouvrir à recevoir, accueillir ses émotions, laisser circuler ses émotions et écouter ce qu’elles nous enseignent, accepter les inévitables tensions et contrariétés, faire face positivement aux difficultés, ne pas culpabiliser et renoncer à la perfection, préserver son bébé dans les moments difficiles, vivre l’instant présent, être à l’écoute de soi et de ses rêves, éviter de se comparer, tenir un journal, développer des images parentales positives, se relier aux énergies de la mère divine, ralentir son rythme, manger 2 fois mieux, s’épanouir dans l’exerice physique et sa sexualité, expérimenter certains outils comme la respiration consciente, la visualisation (elle en partage plusieurs), la méditation ou l’hypnonatal (pour se préparer à accoucher).

– CHAPITRE 3, VIVRE ET TRANSMETTRE LE MEILLEUR PENDANT LA NAISSANCE POUR OFFRIR A BEBE UN BEAU DEPART DANS LA VIE

Ses pistes : respecter le rythme de l’enfant, privilégier l’intimité et la douceur, ne pas couper trop vite le cordon, le peau à peau, l’accouchement dans l’eau, choisir un chemin plutôt qu’un résultat, anticiper ses besoins personnels avant/pendant/apres l’accouchement, expliquer à son bébé comment va se passer l’accouchement et le rassurer… puis elle partage plusieurs conseils pratiques sur l’accouchement : comment bien le vivre, l’accompagnement de bébé, l’aide du père, acceuillir son bébé et revenir à sa propre énergie.

C’est un livre complet, synthétique et qui réunit de nombreuses informations.

Bref, je le recommande !

Découvre mon programme gratuit pour retrouver ton équilibre et créer une vie profondément alignée 🌸

Comment favoriser l’autonomie de vos enfants ?

Comment favoriser l’autonomie de vos enfants ?

Cet article est rédigé par Chang du blog www.ParentaliteZen.comBeau-père d’un enfant de 9 ans, il partage la parentalité positive avec sa fiancée au sein de leur famille recomposée.

Favoriser l’autonomie des enfants fait partie du rôle des parents. Chaque parent rêve d’un monde où son enfant serait autonome : il range sa chambre sans qu’on lui demande, il fait ses devoirs en rentrant de l’école, il se lave les mains avant de manger, il est capable de faire des exposés seuls, d’apprendre un nouveau sport ou activité de lui-même J Chez nous on essaye chaque jour de développer l’autonomie de notre enfant en lui confiant des tâches de plus en plus complexes par exemple (mais toujours adapté à son âge). C’est gratifiant de le voir évoluer et de voir qu’aujourd’hui il arrive à se cuisiner un gâteau seul alors qu’il n’avait jamais mesuré un ingrédient il y a encore quelques temps.

Comment favoriser l'autonomie de vos enfants?

Un des rôles des parents est de les guider vers l’autonomie

 

Favoriser l’autonomie de son enfant c’est comme lui apprendre à marcher. Vous êtes là pour l’accompagner à acquérir une compétence qui fait qu’il pourra se déplacer seul et de manière indépendante par la suite.

Favoriser l’autonomie de vos enfants

Dans cet article, je vous présenterai :

  • Quel est le vrai rôle des parents.
  • Les différents cycles de l’enfant à connaître.
  • Les cycles de l’autonomie.
  • Une mise en situation pour mieux comprendre ce que ressent votre enfant
  • Les méthodes pratiques pour favoriser l’autonomie de votre enfant.

Le vrai rôle des parents

Le vrai rôle de parent est de préparer les enfants à devenir :

  • Des adultes autonomes : capables de faire des choix en conscience.
  • Des adultes responsables : qui assument les conséquences de leurs choix et de leurs actes.
  • Des adultes bien dans leurs baskets.

Connaître les cycles de l’enfance

Pour comprendre comment bien favoriser l’autonomie de votre enfant, il est important d’être conscient de ses cycles :

De 18 à 36 mois : La période d’affirmation de soi.
C’est la période du « Terrible two » où il a envie de dire « Non » à tout. Votre enfant s’affirme et a besoin d’autonomie. Vous pouvez commencer à lui confier de petites responsabilités. N’hésitez pas à encourager ses efforts pour favoriser son autonomie.

De 3 à 4 ans : un pas de plus vers l’autonomie
Il devient de plus en plus autonome. Il est capable de recevoir des consignes maintenant, mais elles doivent restez simples. Une seule consigne à la fois.

De 4 à 5 ans : responsabilité et sociabilisation
Maintenant il sait exprimer ce qu’il ressent. De plus il adore participer aux tâches de la maison. Continuez à encourager le développement de son autonomie.

Le cycle de l’autonomie

Dans son chemin vers l’autonomie, un enfant passe par les plusieurs phases :

  1. La dépendance : en début de vie, l’enfant ne peut pas se débrouiller sans ses parents.
  2. La contre-dépendance : l’enfant veut faire seul.
  3. L’indépendance : la personne devient responsable de ses choix.
  4. L’interdépendance : c’est l’autonomie saine. La personne décide pour elle-même tout en sachant prendre en compte les autres.

Mise en situation : mieux comprendre notre enfant

Il est nécessaire de mieux comprendre les sentiments de vos enfants si vous souhaitez favoriser l’autonomie de ces derniers de manière efficace.

Imaginez :

1. Vous avez 4 ans, vos parents vous disent :
– Mange tes carottes, les légumes sont bons pour toi.
– Vas faire une sieste, tu fatigué.
– Ne joue pas ici, c’est sale.

2. Vous avez 9 ans, on vous dit :
– Ne prends pas cette veste, ça ne te va pas.
– Passe-moi ce pot, je vais l’ouvrir pour toi.

3. Vous avez 17 ans, on vous dit :
– Inutile de passer le permis c’est trop dangereux. Mais rassure-toi, je t’emmènerai sans soucis.

4. Vous êtes adulte, votre employeur vous dit :
– Je dis ça pour vous. Pas la peine de tenter de nouvelles choses, vous pouvez vous contentez d’exécuter. Vous êtes payé pour travailler par pour faire de nouvelles expériences.

Qu’avez-vous ressenti ?

Même si on peut ressentir un peu de gratitude, on ressent surtout :
– de l’impuissance.
– une baisse d’estime de soi.
– du ressentiment.
– de la frustration.
– de la colère.

Pour nos enfants, c’est identique. Si vous avez ressenti cela à la simple lecture de cette mise en situation, imaginez ce que peuvent ressentir vos enfants dans la même situation. Maintenant qu’on s’est mis à la place de nos enfants, voyons quelles sont les méthodes pour favoriser l’autonomie.

Laissez vos enfants faire leurs propres expériences

Laissez vos enfants faire leurs propres expériences

En pratique : l’aider à gagner en autonomie

Les méthodes pour l’accompagner efficacement et favoriser son autonomie sont nombreuses. Cela va de la plus simple à la moins évidente. En voici quelques-unes.

1. Accompagner-le :
Cela parait évident. Dites-lui que vous êtes à côté si nécessaire.

2. Montrez-lui comment faire :
Soyez son exemple.

3. Confiez-lui des responsabilités dans la vie familiale :
Confiez bien sûr des tâches qu’un enfant peut accomplir en fonction de son âge.

4. Laissez-lui le droit à l’erreur :
« il n’y a que ce qui ne font rien qui ne se trompent pas ». Évitez les phrases du type « Je te l’avais dit, je savais que tu ne pouvais pas y arriver ».

5. Le laisser faire :
Les enfants aiment parfois faire seuls. Surtout ne pas les couper dans leur élan dans ces moments-là. Le risque serait qu’il n’ait plus envie d’essayer ensuite.
Exemple : Cela ne nous viendrait pas à l’esprit d’empêcher un enfant d’apprendre à marcher. Alors pourquoi vouloir le freiner s’il souhaite apprendre à lire? Parce qu’il est seulement en maternelle? De même, s’il veut essayer de manger seul, laissez le faire, même s’il risque de se salir au début.

6. Présentez des choix à l’enfant :
Les choix leur permettent de s’entraîner à prendre des décisions.
Exemple : « Tu préfères porter le pantalon bleu ou noir ? » ou « Tu veux prendre le bain avant ou après le dîner? »

7. Montrez-lui que vous respectez ses efforts :
Respecter ses efforts lui permet d’aller au bout d’une tâche difficile.
Exemple : au lieu de dire « Tu mets du temps à faire tes lacets, je vais les attacher pour toi », essayez simplement « C’est délicat d’attacher ses chaussures ».

8. Ne lui posez pas trop de questions :
Les questions sont parfois vécues comme une invasion de la vie personnelle. Laissez-lui l’occasion de s’exprimer quand il en aura envie.

9. Ne vous pressez pas de répondre à ses questions :
Laisser leur l’opportunité d’être les premiers à réfléchir aux réponses.
Exemple : Si on vous demande « Papa, ça vient d’où la neige ?  » Plutôt que de répondre « C’est l’évaporation de l’eau de l’océan qui ensuite se condense et qui… « , essayez « Question intéressante. Tu penses que ça vient d’où ? « 

10. Encouragez-le à utiliser des ressources extérieures au foyer :
En proposant de chercher de l’aide à l’extérieur, vous leur montrez qu’ils peuvent devenir indépendants de vous.
Exemple : « Papa, mon poisson a l’air malade, qu’est-ce-que je peux faire? » Au lieu de lui donner une réponse directe, proposez « On peut aller demander au responsable de l’animalerie, qu’est-ce-que tu en penses? ».

11. Ne supprimez pas l’espoir :
Par reflexe ou par envie de protection, on essaye de les préserver de la déception quand ils ont des rêves trop grands. Laissons les expérimenter par eux-mêmes, c’est souvent plus efficace.
Exemple : si votre enfant vous dit « Plus tard, j’aimerais devenir astronaute » plutôt que de répondre « Avec tes notes en physique? Laisse tomber « , essayez plutôt « Ah oui? Tu t’intéresses à une carrière d’astronaute? »

12. Lui faire confiance La confiance :
La confiance est un très importante pour un enfant. En lui disant « Je te fais confiance », vous lui montrez qu’il est une personne capable. À l’inverse, si vous dites « Mais qu’est-ce-que tu vas encore inventer comme bêtises aujourd’hui ? », cela détruit l’image qu’il a de lui-même. Ce sont des paroles blessantes alors que la confiance mène à la liberté et à plus d’autonomie.

J’espère que cet article vous a été utile et qu’il permettra de booster votre enfant au quotidien 😉 N’oubliez pas de vous mettre à la place de votre enfant et d’avoir seulement des attentes adaptées à son âge.

Retrouvez Chang sur son blog www.ParentaliteZen.com pour plus de conseils sur la parentalité positive et comment retrouver une famille harmonieuse et moins conflictuelle.

 

Découvre mon programme gratuit pour retrouver ton équilibre et créer une vie profondément alignée 🌸